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    • durée de lecture : 7 minParmi les fonctionnalités offertes par Proxmox VE pour gérer les machines virtuelles et les conteneurs, il y a les snapshots et les sauvegardes. Bien que ces deux fonctionnalités soient associées à la protection des données, elles servent des objectifs distincts et fonctionnent différemment. Cet article fait un focus sur les snapshots avec les machines virtuelles Proxmox, mais il me semble important d'y associer un rappel sur les différences entre les snapshots et les sauvegardes (backup). Cliquez ici pour regarder la vidéo sur YouTube Il y a parfois une certaine confusion entre les snapshots et les backups, et pourtant, les intérêts de ces deux fonctionnalités sont différents. Snapshots (Instantanés) Un snapshot dans Proxmox VE est une capture de l'état d'une VM ou d'un conteneur à un moment précis. Son principal objectif est de créer un point de restauration rapide afin de pouvoir revenir en arrière (ou naviguer entre plusieurs états). Lorsque vous prenez un snapshot, Proxmox VE enregistre la configuration de la VM à ce moment-là. Ensuite, toutes les modifications ultérieures de la VM sont écrites dans un nouveau fichier, tandis que les données d'origine restent inchangées, permettant ainsi de revenir rapidement à l'état capturé. En général, ces données sont stockées dans le même répertoire que les données de la machine virtuelle en elle-même. L'objectif principal est de pouvoir revenir rapidement à un état antérieur en cas de problème (par exemple, après une mise à jour logicielle ratée, une modification de configuration risquée ou pour des tests). Le snapshot a vocation à être temporaire. Backups (Sauvegardes) Une sauvegarde est une copie complète et autonome des données et de la configuration d'une VM ou d'un conteneur à un moment donné. Pour réaliser ses sauvegardes, Proxmox VE s'appuie l'outil de sauvegarde intégré : vzdump, à ne pas confondre avec la solution Proxmox Backup Server. Cet outil crée une archive complète des données de la ressource (machine virtuelle ou snapshot), y compris les fichiers de configuration. La sauvegarde, quant à elle, est de préférence stockée sur un espace de stockage externe (NAS ou autre). L'objectif principal est d'assurer la récupération après sinistre (perte de données, erreur système critique, etc.) ou l'archivage à long terme. Une sauvegarde, contrairement à un snapshot, est associé à une stratégie de rétention. Pour commencer, nous verrons comment créer, modifier, restaurer et supprimer un snapshot à partir de l'interface web (GUI) de Proxmox VE. Ce sera l'occasion de voir la mécanique de fonctionnement des snapshots en prenant un exemple. Avant de commencer, voici une précision associée au format du disque et la compatibilité avec les snapshots : Le format qcow2 (QEMU image format) prend en charge nativement les snapshots de l'image disque. Le format raw (image disque brute) ne prend pas en charge les snapshots par lui-même, donc il nécessite que la couche de stockage gère cette fonctionnalité. Autrement dit, dans certains cas, il se peut que les snapshots ne soient pas possibles ! Vous pouvez consulter le tableau sur cette page, il offre une bonne vue d'ensemble. Nous allons voir comment créer un snapshot d'une VM Proxmox. Actuellement, nous avons l'état suivant : une machine Debian 12 sur laquelle Apache2 n'est pas installé. Avant de procéder à l'installation, et pour avoir la possibilité de revenir en arrière, nous allons faire un snapshot. Voici les étapes à suivre : 1. Connectez-vous à votre interface web Proxmox VE. Dans l'arborescence des ressources à gauche, sélectionnez le nœud sur lequel la VM est hébergée. 2. Sélectionnez la VM pour laquelle vous souhaitez créer un snapshot, ici c'est la VM avec l'ID 100. 3. Dans le menu dédié à la VM, cliquez sur "Snapshots" puis sur le bouton "Take Snapshot". Une boîte de dialogue s'ouvrira. Vous devez alors saisir un nom, par exemple Snap1-20250723-Avant-Apache et une description. Sachez que vous pouvez créer plusieurs snapshots pour une même VM. Lors de la création d'un instantané sur une machine virtuelle, il y a une option nommée "Include RAM". Cochez cette option si vous souhaitez que le snapshot inclue l'état de la mémoire vive de la VM. Cela permet de restaurer la VM exactement dans l'état où elle se trouvait au moment du snapshot, sans nécessiter un démarrage complet. Cliquez sur "Take Snapshot" pour confirmer. La création du snapshot est un succès, comme le prouve le message TASK OK dans la sortie. Désormais, l'état actuel (NOW) est positionné sous notre snapshot, puisque ce dernier correspond à un état antérieur. La date et l'heure à laquelle le snapshot a été créé est clairement spécifiée, ce qui est une information essentielle. Vous pouvez éditer un snapshot à tout moment, ce sera l'occasion de modifier sa description. Toujours sur ce même machine Debian 12, j'ai pu procéder à l'installation d'Apache2. Mais, finalement, j'aimerais revenir en arrière. Je pourrais prendre le temps de supprimer le paquet et nettoyer le système. Néanmoins, nous allons simplement restaurer le snapshot pour revenir à l'état antérieur. Suivez ces étapes : 1 - Toujours dans la gestion de la VM, cliquez sur "Snapshots" 2 - Sélectionnez le snapshot à restaurer. 3 - Cliquez sur le bouton d'action nommé "Rollback". 4 - Cliquez sur "Yes" pour valider. Attention, les modifications effectuées après l'état capturé dans l'instantané seront perdues. Patientez le temps de l'opération. À partir de là, le snapshot a été restauré, mais il est toujours présent. Si vous n'en avez plus besoin, il conviendra de le supprimer. J'en profite pour évoquer la possibilité de créer plusieurs snapshots. Vous pouvez ensuite naviguer entre les différents états. Ce qui est important, c'est le positionnement du pointeur "NOW". Ici, nous pouvons voir que l'état actuel est basé sur le snapshot Snap1, et non sur le Snap2. Avec ce second exemple, l'état actuel est basé sur le Snap2. Nous n'avons plus besoin de notre snapshot, alors il est temps de le supprimer. En effet, le snapshot peut avoir un impact sur les performances et aussi augmenter la consommation sur l'espace de stockage. N'oublions pas qu'il a vocation à être temporaire. Pour supprimer un snapshot, procédez toujours depuis la section "Snapshots" de la ressource. Vous devez simplement sélectionner le snapshot à supprimer et cliquez sur le bouton "Remove". Confirmez l'opération. Dans la suite de ce tutoriel, nous allons basculer en ligne de commande pour effectuer la gestion des snapshots sur une machine virtuelle. Avant de commencer, vous devez accéder à ce terminal, soit via l'interface web de Proxmox VE ou en connexion SSH directe. 1 - Cliquez sur votre nœud PVE sur la gauche. 2 - Sélectionnez "Shell" dans le menu et connectez-vous avec votre compte. 3 - Vous pouvez lister vos machines virtuelles avec la commande qm list. Vous devez utiliser la commande qm snapshot pour créer un snapshot. Celle-ci attend plusieurs informations comme l'ID de la VM et le nom du snapshot. La syntaxe à adopter est la suivante : qm snapshot <VMID> <NOM_DU_SNAPSHOT> [OPTIONS]Donc, pour créer un snapshot sur la VM avec l'ID 100, nommer ce snapshot Snap-avec-Shell et lui ajouter une description, tout en capturant l'état de la RAM, il conviendra d'exécuter cette commande : qm snapshot 100 Snap-avec-Shell --description "Snapshot créé depuis le Shell Proxmox" --vmstate trueVous pouvez ensuite lister les snapshots de cette VM : qm listsnapshot 100Bien entendu, sur l'interface web de Proxmox, cet instantané est visible : Pour restaurer le snapshot que nous venons de créer, nous devons utiliser la commande qm rollback de cette façon : qm rollback <VMID> <NOM_DU_SNAPSHOT>Dans notre cas, la commande serait donc : qm rollback 100 Snap-avec-ShellEnfin, si nous n'avons plus besoin de ce snapshot, nous pouvons le supprimer avec une autre commande prévue à cet effet : qm delsnapshot. Elle s'utilise sur le même principe que la commande pour le rollback : qm delsnapshot <VMID> <NOM_DU_SNAPSHOT>Dans le cas présent, nous devons exécuter cette commande : qm delsnapshot 100 Snap-avec-Shell Logical volume "vm-100-state-Snap-avec-Shell" successfully removed. Logical volume "snap_vm-100-disk-0_Snap-avec-Shell" successfully removed.En suivant ce tutoriel, vous êtes en mesure de créer, restaurer et supprimer les snapshots sur les machines virtuelles (et les conteneurs) hébergés sur Proxmox VE. Vous pouvez procéder via l'interface web ou la ligne de commande, selon vos besoins. La ligne de commande est plus intéressante lorsqu'il y a des tâches à automatiser. Afficher l’article complet
    • durée de lecture : 3 minL'entreprise suisse Proton, connue pour sa solution de messagerie ProtonMail, a lancé Lumo, un assistant IA conçu dès le départ pour la confidentialité, qui promet de ne jamais exploiter les conversations de ses utilisateurs. Voici ce qu'il faut savoir. Face aux géants de la technologie et à leur modèle économique, souvent critiqué pour sa gourmandise en données personnelles, l'entreprise suisse Proton, a dévoilé un nouveau service : Lumo. "Nous pensons que les avantages de l'IA sont trop grands pour être manqués, et les risques trop sérieux pour être ignorés.", Proton fait référence aux problèmes de confidentialité et à l'exploitation des données des utilisateurs. Lumo est donc une réponse européenne ! Lumo est un assistant IA capable de répondre à des requêtes diverses et variées, de travailler sur des documents et d'effectuer des recherches sur le web. D'ailleurs, ce dernier point est important : si Lumo n'exploite pas les données des utilisateurs, il se doit de trouver des informations récentes ailleurs, et donc, sur le web. L'IA de Proton s'appuie sur des modèles de langage (LLM) open source, mais leurs noms ne sont pas précisés dans le communiqué de presse. Il faut jeter un coup d'œil à la page "Privacy" de Lumo pour en savoir plus. Nous apprenons que les modèles actuellement utilisés sont Nemo, OpenHands 32B, OLMO 2 32B et Mistral Small 3. Il y a donc l'utilisation d'un modèle proposé par l'entreprise française Mistral AI. "Vous bénéficiez ainsi d'une plus grande transparence sur le fonctionnement de Lumo que sur celui de tout autre assistant d'IA majeur. Contrairement à Apple Intelligence et à d'autres, Lumo n'est pas un partenariat avec OpenAI ou d'autres sociétés d'IA américaines ou chinoises, et vos requêtes ne sont jamais envoyées à des tiers.", précise Proton. Source : ProtonProton mise sur la confidentialité et la protection des données de ses utilisateurs. À ce titre, plusieurs mesures techniques sont appliquées : Aucun journal conservé : contrairement à ses concurrents, Lumo ne garde aucune trace de vos conversations sur ses serveurs. Chiffrement zéro-accès : les conversations avec Lumo sont chiffrées, de la même façon que les données de Proton Mail, Proton Drive ou encore Proton Pass. Autrement dit, seul vous, sur votre appareil, pouvez les déchiffrer. Pas de partage de données : l'architecture même de Lumo empêche tout partage de données avec des tiers, que ce soit des annonceurs ou des agences gouvernementales. Pas d'utilisation pour l'entraînement de l'IA : vos conversations et les informations que vous soumettez ne seront jamais utilisées pour entraîner le LLM de Lumo. C'est important, car cela signifie que Lumo ne se nourrit pas des échanges avec les utilisateurs, et donc, vos données personnelles ne se retrouveront pas dans les réponses générées pour d'autres utilisateurs. Accessible gratuitement sans même avoir besoin de créer un compte, Lumo est disponible sur le web et via des applications pour Android et iOS. Vous pouvez le tester via la page lumo.proton.me. Il y a donc une offre gratuite et une offre payante baptisée Lumo Plus. Actuellement proposée à 9.99 euros par mois (offre de lancement), elle fait notamment sauter certaines limites de la version gratuite : nombre illimité de conversations par jour, historique des conversations illimités, chargement de fichiers volumineux, et accès à modèles IA avancés. En complément, Proton a annoncé un investissement de plus de 100 millions d'euros pour déplacer une grande partie de son infrastructure physique de la Suisse vers l'Allemagne et la Norvège. Lumo sera le premier produit à bénéficier de ce déménagement, mais pourquoi Proton envisage de quitter la Suisse ? Cette décision est motivée par "l'incertitude juridique concernant les propositions du gouvernement suisse visant à introduire une surveillance de masse". Enfin, avec Lumo, l'objectif de Proton est de proposer une IA qui ne soit pas sous la juridiction américaine ou chinoise, mais bien protégée par les lois européennes sur la vie privée. Qu'en pensez-vous ? Source Afficher l’article complet
    • durée de lecture : 2 minPublié le 20 juillet 2025 à 13:10 par Après des années d'attente, Firefox va intégrer la technologie WebGPU pour une puissance graphique décuplée, d'abord sur Windows. Le support de WebGPU devient une réalité pour Firefox. Avec la prochaine version 141 du navigateur, les utilisateurs sur Windows seront les premiers à en bénéficier. Suite à des années de développement, Mozilla se lance dans la course pour offrir des expériences web plus riches et performantes, un terrain où des rivaux ont déjà pris une longueur d'avance. WebGPU met le turbo pour Firefox WebGPU est une API graphique moderne pour permettre aux pages web de communiquer directement avec le processeur graphique de l'appareil. De quoi libérer une puissance de calcul et de rendu bien supérieure à ce que permettait l'ancienne technologie WebGL. Pour les utilisateurs, les bénéfices se mesureront par exemple avec des jeux vidéo aux graphismes complexes tournant avec fluidité directement dans Firefox, des visualisations de données 3D très détaillées ou encore des applications de calcul intensif qui s'exécutent localement à une vitesse accrue. C'est tout un pan du Web qui s'apprête à devenir plus rapide dans Firefox. Une arrivée tardive mais stratégique Firefox n'est pas le premier à franchir ce cap. Google Chrome propose WebGPU depuis 2023, et Apple s'apprête à l'intégrer dans Safari cet automne. Le navigateur de Mozilla arrive plutôt en position de challenger sur ce terrain. L'implémentation repose sur WGPU, une bibliothèque développée en langage Rust. L'avantage de cette technologie est sa capacité à fonctionner avec les différentes interfaces graphiques de bas niveau des systèmes d'exploitation (Direct3D 12 sur Windows, Metal sur macOS et Vulkan sur Linux). Cette base technique unifiée explique pourquoi le déploiement sur Windows n'est qu'une première étape. Mozilla a déjà confirmé que le support sur macOS et Linux suivrait dans les prochains mois, une fois la stabilité et les tests jugés suffisants. L'écosystème Android est également dans le viseur. Quelques réglages encore nécessaires Mozilla joue la carte de la transparence. Si WebGPU est prêt pour un usage quotidien, l'intégration n'est pas encore totalement finalisée. L'équipe de développement a identifié plusieurs axes d'amélioration sur lesquels elle travaille activement. Les utilisateurs des premières versions pourraient donc rencontrer quelques frustrations. Parmi les points à peaufiner, une communication entre processus qui génère une latence et dont le correctif est déjà prévu pour Firefox 142. Un système de vérification des tâches GPU peut aussi ralentir certaines applications, tandis que la fonction importExternalTexture, qui permettrait au GPU de lire directement des vidéos décompressées, est absente. Jérôme G.Journaliste GNT spécialisé en nouvelles technologies Suivez GNT sur Google ActualitésRecevez nos notificationsSuivez GNT sur LinkedinSur le même sujet Cette page peut contenir des liens affiliés. Si vous achetez un produit depuis ces liens, le site marchand nous reversera une commission sans que cela n'impacte en rien le montant de votre achat. En savoir plus. Afficher l’article complet
    • durée de lecture : 3 minQuelle qualité avez-vous vraiment avec votre forfait mobile quand vous êtes chez vous, à votre travail, en déplacement ou sur votre lieu de vacances ? Depuis plusieurs années, le régulateur des télécoms a une carte décisive pour connaître la situation près de chez soi : Mon Réseau Mobile. Cette carte pour connaître la couverture et la qualité de service vient d’être actualisée. Il existe pléthore de très bons forfaits mobiles 4G et 5G en 2025. Sauf que tous les opérateurs de téléphonie n’ont pas toujours les mêmes performances partout sur l’ensemble du territoire français. En fonction de la répartition des antennes relais et des circonstances sur le terrain, certains réseaux s’en sortent mieux que d’autres. Pour déterminer quel opérateur a le meilleur réseau mobile, le régulateur des télécoms publie chaque année un bilan général sur le pays entier, qui est également décliné par thème : dans les grandes villes, à la campagne, sur les routes, sur les sites touristiques ou selon des critères techniques spécifiques, tels que le débit, la couverture, etc. Mais ce point d’étape n’offre qu’une photographie annuelle, qui ne permet pas de mettre en relief les particularités locales. C’est justement là qu’une autre carte de suivi de l’Autorité de régulation des communications électroniques (Arcep) entre en jeu : Mon Réseau Mobile, qui permet de voir la situation à un niveau beaucoup plus local. Vos données méritent d’être mieux protégées. Les escroqueries, les virus et les ransomwares ne sont plus une fatalité. Protégez votre vie privée et vos données personnelles avec Bitdefender et profitez de votre vie numérique en toute sérénité. Cette carte existe certes depuis des années. On en parlait déjà en 2020, par exemple. Mais le 8 juillet 2025, l’Arcep a annoncé une révision notable de son outil cartographique, avec notamment une « interface repensée » afin de « refléter plus finement l’expérience internet mobile » du public, et des informations « enrichies ». En particulier, ces nouvelles cartes « vont permettre d’offrir une plus grande précision en distinguant quatre niveaux (de ‘absence de couverture’ à ‘très bonne couverture’), afin de mieux refléter la réalité vécue par les utilisateurs », précise le régulateur des télécoms. Un dégradé de plusieurs couleurs est visible pour refléter ce niveau de couverture. Un exemple de zoom sur l’Essonne. // Source : Capture d’écranAvec la carte, on peut ainsi faire ressortir : la couverture théorique ; les tests de qualité réseau ; les antennes et déploiements ; les zones à couvrir ; les signalements de problèmes (J’alerte l’Arcep). L’Arcep signale au passage que cette mise à jour a aussi pris en compte des besoins plus experts. Cela inclut des statistiques territoriales adaptées à la zone sélectionnée, un fond de plan satellitaire pour mieux se repérer sur les cartes, ainsi que l’indication des antennes indisponibles (en panne ou en travaux), mises à jour quotidiennement Pour aller plus loinIl existe par ailleurs des options de tri et de recherche pour faire ressortir une région, un département ou une commune, mais aussi certains axes. On pense aux trains (TGV, Intercités, TER, RER, Transiliens, métros), mais aussi aux principales routes. Chaque section dispose ensuite de sous-options pour affiner les informations. Point notable et appréciable : le travail de suivi de l’Arcep ne se limite pas à la seule métropole. Les territoires de la France d’outre-mer sont là, avec des visualisations de la Guyane, la Guadeloupe, la Martinique, la Réunion, Mayotte, Saint-Barthélemy et Saint-Martin. Deux absents notables à noter : la Polynésie française et la Nouvelle-Calédonie. Pour finir, « Mon réseau mobile permet également de consulter l’emplacement des zones qui devront être couvertes dans les 24 mois par les opérateurs au titre du dispositif de couverture ciblée », pointe l’Arcep. Lancé en 2018, ce plan vise à améliorer localement la couverture des territoires, en lien avec les besoins des collectivités territoriales. Pour aller plus loinMarre des réseaux sociaux ? Rejoignez la communauté Numerama sur WhatsApp ! Afficher l’article complet
    • durée de lecture : 2 minBill Gates et Linus Torbalds, sur la même photo, partageant leur premier déjeuner ensemble. Le 22 juin, le fondateur de Microsoft et le programmateur finlandais surnommé le « père » de Linux sont apparus publiquement pour la première fois de leur vie côte à côte, une image plus que symbolique, qui rassemble deux visions et deux fondations de l’Internet que l’on connaît. Tous les deux passionnés d’informatique, ils représentent d’un côté la suite de logiciels propriétaires et de l’autre le mouvement open source. La rencontre a pris place lors d’un déjeuner, organisé chez Mark Russinovich, le directeur technique de Microsoft Azure. C’est lui qui a d’ailleurs posté la photo sur le réseau LinkedIn (racheté par Microsoft il y a dix ans). À leurs côtés, un autre convive, tout aussi important du Microsoft des années 1990 : David Cutler, l’une des figures centrales de Windows NT. Il y a vingt ans, Microsoft voyait Linux comme son ennemi principal, une vraie menace. Aujourd’hui, leurs fondateurs se rencontrent, et Microsoft est moins fermé à l’open source, alors que le géant américain détient GitHub. « J’ai eu le frisson de ma vie en organisant un dîner pour Bill Gates, Linus Torvalds et David Cutler », écrivait Mark Russinovich sur son post. Aujourd’hui, les principaux chefs d’entreprise technologiques américains ont l’habitude de se côtoyer dans des événements, tels que des conférences, des soirées people, mais aussi des auditions au Sénat. Il y a vingt ans, jamais Bill Gates et Linus Torbalds ne s’étaient affichés en public. Depuis, Mark Russinovich avançait que les deux hommes ne s’étaient effectivement jamais rencontrés. Si Bill Gates avait un problème avec Linux, Linus Torbalds en avait aussi un avec Microsoft. Il critiquait souvent l’entreprise en soulignant ses pannes. Alors que le déjeuner a suscité un vif intérêt au sein de la communauté technologique, Mark Russinovich n’a rien arrangé, en déclarant qu’une nouvelle rencontre pourrait avoir lieu, et que des projets pourraient en découler entre les deux hommes, aujourd’hui âgés de 69 ans pour l’Américain et de 55 ans pour le Finlandais. « Linus n’a jamais rencontré Bill, et Dave (David) n’a jamais rencontré Linus. Aucune décision majeure n’a été prise ici, mais peut-être lors du prochain dîner », a-t-il écrit sur son poste sur LinkedIn. Afficher l’article complet
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